Le président Mamadou Dème, à la tête du parti "KISAL SENEGAAL", a annoncé la participation ferme et engagée de sa formation politique au dialogue national convoqué par le président de la République. Dans une déclaration rendue publique ce week-end, M. Dème a salué l'initiative présidentielle comme un acte républicain majeur, appelant à « l’échange sur des sujets d’intérêts communs à notre nation et à notre peuple pluriel à mémoires multiséculaires récurrentes ».
Le chef de l’État a récemment convié l’ensemble des forces politiques et sociales du pays à un dialogue national, prévu pour débuter le 28 mai prochain. À cet appel, "KISAL SENEGAAL", mouvement affilié à la mouvance "MOOBAL SENEGAL", a réagi avec clarté. « Nous répondons favorablement au dialogue national proposé par Monsieur le Président de la République », a déclaré Mamadou Dème.
Soulignant la pertinence des termes de référence proposés pour ce dialogue, le président du parti a affirmé que ceux-ci « posent des sujets d’intérêt national, qui, même à l’état brut, imposent des clarifications et la confrontation des visions politiques ». En ce sens, "KISAL SENEGAAL" prévoit une participation active « durant toute la durée de la rencontre à travers la mobilisation de ses représentants ».
Dans cette perspective, une contribution écrite sera remise au président de la République. Selon Mamadou Dème, cette note exposera « notre vision souveraine de notre nation et de ses enjeux », tout en suggérant des thématiques destinées à préciser certaines propositions figurant à l’ordre du jour.
Parmi les préoccupations mises en avant par le président de "KISAL SENEGAAL" figurent notamment les normes futures de la représentativité électorale, la liberté d’association, la discrimination dans l’exercice du pouvoir liée à l’âge, ainsi que l’exclusion de la diaspora sénégalaise des mécanismes constitutionnels. Il a également insisté sur l’importance du rôle des langues nationales dans la vie politique et institutionnelle du pays.
« Toutes les questions relatives à la communication politique et des outils qui la portent, celles relatives aux accessibilités à l’information politique, économique et sociale, et le rôle et la place des langues nationales sénégalaises codifiées dans l’animation de la pluralité des paroles politiques, sont des questions d’intérêt national », a-t-il martelé.
Pour Mamadou Dème, cette démarche de dialogue ne doit pas être une simple formalité, mais bien un moment sincère de réflexion collective : « Le Sénégal et son peuple valent ce temps de dialogue... Les inquiétudes actuelles imposent aux acteurs la nécessité de se rencontrer et de se parler, pour le Sénégal, et d’être honnêtes et transparents à l’égard du peuple sénégalais ».
Concluant son adresse, le président de "KISAL SENEGAAL" a réitéré sa foi en l’idéal démocratique : « Pour que l’État de droit, les libertés d’entreprendre, de créer, ainsi que de s’associer soient de rigueur en permanence. Et c’est cet enjeu-là qui motive et justifie notre présence et notre participation active au dialogue national, à partir du 28 mai prochain ».
Le chef de l’État a récemment convié l’ensemble des forces politiques et sociales du pays à un dialogue national, prévu pour débuter le 28 mai prochain. À cet appel, "KISAL SENEGAAL", mouvement affilié à la mouvance "MOOBAL SENEGAL", a réagi avec clarté. « Nous répondons favorablement au dialogue national proposé par Monsieur le Président de la République », a déclaré Mamadou Dème.
Soulignant la pertinence des termes de référence proposés pour ce dialogue, le président du parti a affirmé que ceux-ci « posent des sujets d’intérêt national, qui, même à l’état brut, imposent des clarifications et la confrontation des visions politiques ». En ce sens, "KISAL SENEGAAL" prévoit une participation active « durant toute la durée de la rencontre à travers la mobilisation de ses représentants ».
Dans cette perspective, une contribution écrite sera remise au président de la République. Selon Mamadou Dème, cette note exposera « notre vision souveraine de notre nation et de ses enjeux », tout en suggérant des thématiques destinées à préciser certaines propositions figurant à l’ordre du jour.
Parmi les préoccupations mises en avant par le président de "KISAL SENEGAAL" figurent notamment les normes futures de la représentativité électorale, la liberté d’association, la discrimination dans l’exercice du pouvoir liée à l’âge, ainsi que l’exclusion de la diaspora sénégalaise des mécanismes constitutionnels. Il a également insisté sur l’importance du rôle des langues nationales dans la vie politique et institutionnelle du pays.
« Toutes les questions relatives à la communication politique et des outils qui la portent, celles relatives aux accessibilités à l’information politique, économique et sociale, et le rôle et la place des langues nationales sénégalaises codifiées dans l’animation de la pluralité des paroles politiques, sont des questions d’intérêt national », a-t-il martelé.
Pour Mamadou Dème, cette démarche de dialogue ne doit pas être une simple formalité, mais bien un moment sincère de réflexion collective : « Le Sénégal et son peuple valent ce temps de dialogue... Les inquiétudes actuelles imposent aux acteurs la nécessité de se rencontrer et de se parler, pour le Sénégal, et d’être honnêtes et transparents à l’égard du peuple sénégalais ».
Concluant son adresse, le président de "KISAL SENEGAAL" a réitéré sa foi en l’idéal démocratique : « Pour que l’État de droit, les libertés d’entreprendre, de créer, ainsi que de s’associer soient de rigueur en permanence. Et c’est cet enjeu-là qui motive et justifie notre présence et notre participation active au dialogue national, à partir du 28 mai prochain ».