« Kaliphone a pris ses doigts et m’a pénétrée de force », Mannequin Adja Thiare Diaw
Le mannequin Adja Thiaré Diaw a accusé le célèbre activiste Kaliphone de viol. A cet effet, la célébrité a affirmé que l’accusé avait tout manigancé pour le mettre de ses filets. Cette dernière a affirmé que l’affaire s’est passée avant- hier dans la nuit. Ainsi, elle n’a pas traîné avant de porter plainte. Aussi, la jeune dame a révélé que la police et la gendarmerie ont mieux prêté l’oreille à l’insulteur que la victime. En attendant d’y voir très clair, le dossier est dans la main des enquêteurs et dès lundi, les choses vont s’éclaircir.
Une affaire viol a éclaboussé le célèbre activiste Khalifone. Tout commence lors d’une rencontre avec son ami, répondant au nom de Mariama. « Je l’ai connu par le biais d’un ami. Elle était chez moi, parce qu’elle n’avait nulle part allé. Elle m’a demandé de lui garder ses bagages. En effet, il voulait dormir chez moi, mais il n’a pas pu dormir chez moi, parce qu’il allait au Magal. A son retour du magal, il revenait chez et m’a dit qu’il avait trouvé une solution. Il va chez son oncle qui vit avec sa tante. Il m’a demandé de l’ accompagner. Il m’a dit de l’accompagner pour qu’il soit plus rassuré. Arrivé, il me demande d’attendre jusqu’à son oncle qui monte dans la chambre. On arrive, il se trouve que son ami lui avait demandé de venir et ne lui a montré aucune chambre. »
Rencontre avec Khalifone
Quand le gendarme est venu, il n’a pas voulu lui rendre le téléphone. Il a demandé à Kaliphone de lui rendre le téléphone. Et Il lui a donné le téléphone. Mais, le gendarme ne l’a pas rendu au téléphone. C’est une affaire louche ! Quand un autre gendarme est venu. Il était dans une autre voiture. Sa maman est montée par derrière. Mais elle, ne voulait pas laisser toute seule kaliphone avant qu’il se fonde. Et ils sont partis avec Mariama à la police. Une fois là-bas, les policiers ont remarqué à travers son visage qu’elle a subi une agression. Mais ils lui ont dit qu’ils n’ont pas de preuve, il faut un certificat un l’hôpital. Ils ne lui ont pas donné un nom et elle est allée à l’hôpital. Mais, le gynécologue lui a appris que la police allait lui donner une réclusions avant de faire un certificat de gynécologie. Quand elle est revenue le matin, elle a été surprise de constater qu’ils ont laissé Kaliphone filer. Le gendarme qui était là-bas lui a dit que ce n’est pas normal qu’ils le laissent partir, vu son état. Mais ils l’ont dit que ce n’est pas difficile de le trouver puisque c’est une personnalité influente. A la police, ils lui ont donné le papier. Elle est retournée avec sa mère chez la gynécologue. Mais cette dernière leur a fait savoir qu’il y avait une erreur sur son nom. Alors qu’elle avait remis à la police sa carte d’identité. Ils lui ont fait des analyses et autres. Et sont retourné le matin à la police. C’est là qu’il a trouvé Kaliphone. Lors des interrogatoires, le premier gendarme ne lui a pas dit qu’elle mentait, mais par contre le deuxième, il lui disait qu’elle mentait froidement, qu’elle ne peut pas accepter le cas de viol, mais elle peut porter plainte pour coup et blessures. La regardant dans les yeux, elle soutient Je lui dis qu’elle ne changera pas de version. Il lui disait qu’elle mentait, alors qu’il n’avait pas le droit. Après qu’un autre gendarme est venu, il ressemble au chef. Ne ne lui prêtait pas attention à son discours, il écoutait plus que Kaliphone. Dés fois, il le critique. Ils ont appelé le procureur, mais ils n’ont donné que la version de Kaliphone. Ils l’ont dit que Kaliphone a porté plainte, alors que elle aussi a porté plainte. Et ils l’ ont convoqué pour Lundi. Au gynécologue, ils ont pris une photo de mon corps et des blessures, c‘est tout ! Mais ils n’ont pas pris de photos de son slip déchiré. Ils ont dit que c’est à la police de le faire. Quand il a dit au policier de prendre une photo de son slip, il lui a dit qu’il n’a rien à lui dire. Suivant sa réaction, elle dit que si elle lui donne le slip, il ne va rien faire.
