Leadership : « Je suis étudiant le matin, businessman l’après-midi et artiste la nuit », Ibrahima Sylla. (Portrait)

Jeune Entrepreneur accompli et philanthrope acharné, Ibrahima Sylla est l’un des Leaders qui n’ont l’esprit tranquille que s’ils améliorent la vie de sa communauté. D’ailleurs, le PDG de “Nexna Services”, Cofondateur “Yoff Media Info”, sans passer sous silence ses entreprises implantées dans les secteurs de l’agriculture, l’audiovisuel, le transport et j’en passe, ainsi les organisations internationales, est une machine qui transforme sa communauté. Sa philosophie de vie se trouve sur la maxime suivante : je suis apprenant le matin, businessman l’après-midi et artiste la nuit. Ce dernier affirme que quand vous voulez acquérir une chose, lors que cette chose est voulue par tout le monde, il faut se différencier par la diversité.

Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. Cet adage de Pierre Corneille pourrait bien s’appliquer à Ibrahima Sylla qui, loin de friser la trentaine, truste les premières places du gratin des jeunes patriotes engagés. Son engagement est la marque indélébile de son courage, de sa volonté et surtout les pas de géants effectués dans le milieu de l’entrepreneuriat, mais également son amour zèle envers sa communauté, ainsi les prières et bénédictions L’ébous de Yoff et de son guide spirituel avant de réussir à bâtir en quelques temps un royaume.

Licence en poche en géographie à l’université Gaston Berger de Saint-Louis, Ibrahima Sylla n’a pas d’autres ambitions que l’entrepreneuriat. D’ailleurs, comme il aime dire : « Je suis étudiant le matin, businessman l’après-midi et artiste la nuit ». En basant sur cette maxime, on sera sur le champ que ce collaborateur de l’organisation international de « World Vision », est une denrée rare qui a été longtemps nourri par la fibre de l’entrepreneuriat et la quête de la sagesse. Comme à l’accoutumé, il est sanctionné par une Attestation de Reconnaissance par ladite organisation pour le travail d’orfèvre et de titan abattu dans la Commune de Fimela .En vérité, tout travail mérite salaire. En ce sens, le paneliste de l’organisation internationale SoS Africaine en danger ne cesse de tresser des lauriers à la jeunesse sénégalaise. Il est carapaçonné par une Attestation de Reconnaissance pour ces précieuses contributions dans la réussite de leur programme de santé publique. Sa conviction n’est pas de remonter les bretelles aux politiques ni aux limiers. Le sobriquet « le milliardaire L’ébous » conçoit cette manière de faire inutile et invite les jeunes dans la profonde révolution intellectuelle, celle basée sur la pieuse réflexion sur les questions liées au changement et développement de nos communautés et Pays.

Un patriote ne regarde pas le bateau couler, il propose une solution, car il est le capitaine. Le milliard Lebous, comme c’est lui dont il s’agit, de taille élancée, au teint clair et au regard perçant mais attentif n’attend jamais les autorités de sa localité dans le développement de son fief natal. Son intellectualisme et sa soif de sagesse combative n’aurait pu l’inciter à avoir gain de cause dans ses combats s’il n’avait pas été engagé. Très convoité par les esprits bien éclairés qui lui a poussé à agir et à réagir, sa philosophie n’est rien que le savoir-faire et l’expérience de servir. Conscient de ce choix parfois aussi fatidique, l’Ambassadeur de l’Ong IAM Afrika flute ses armes dans sa formation personnelle et à l’acquisition de l’expérience et l’expertise, qui pour lui, sont fondamentales quand on veut quelque chose. N’a-t-on pas l’habitude de dire que: le savoir est un arme? Il a étudié la communication, puis les relations internationales, avant d’être champion du Monde avec les étudiants de Yoff sur le concours international Français Global Potentiel. Ce n’est pas la partie visible de l’iceberg! Le Collectif des Jeunes Elèves et Etudiants de Ngor (COJEEN) lui a décerné un Diplôme de Reconnaissance pour les services appréciables rendus au Système Educatif de Ngor. La liste est exhaustive. Pour votre gouverne, Ibrahima Sylla, est un mage de l’art oratoire. Il tire cette éloquence dans la poésie. Forcément, un poète sous l’ombre.

Pour couronner le tout, le philanthrope a mis un bic rouge à la désormais vieille méthode de transmettre du savoir à travers une brochure de 20 pages. Comme il a l’habitude d’affirmer que la transmission des connaissances doit se faire d’une manière simple pour que tout le monde ait accès sans discrimination. Cependant, il est à ses heures perdues, surement quand la nuit tombe, un slameur pour rejoindre le dicton qui affirme que :la nuit, tous les chats sont gris. Chez les artistes, l’épanouissement se fait à travers l’écriture pour échapper aux dures réalités de la vie. Il passe des nuits blanches depuis quelques temps.Ibrahima n’a rien en tête que la Mairie de Yoff…..

M/C (Essamaye)

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